I’ve had the album *Dualità* in my queue for some months but just getting around to listening to it, in part. The playing is not particularly distinguished or distinctive, but it’s listenable enough. What makes the album worth putting on the table, perhaps, is the programming. It’s fragmented, to be sure, opening with a mere movement from the Messiaen vingt regards, multiple interjections of the player’s own work, multiple iterations of Glass etudes, and so forth. In other words, with the exception of a complete offering by Gorecki, a potpourri. He seems to have done much the same with his first album, Oscillations. So that’s fine, it all hangs together well enough. And the serviceable playing doesn’t get in the way of the umbrella idea which is… what exactly? I don’t know. The duality idea means something, possibly. A clue to the intellectual project. There is a brief verbal monologue about midway through the program spoken by a woman (Nita Klein) in French. It is titled “le gibet” and precedes Ravel’s famous work of the same name. But I find no answers here. Instead, presumably the preface to a concert recital of these same pieces (minus the monologue), Mr Bassa tells us:
« Dualitá » est la fusion de 17 pièces, dont cinq de ma composition, nées d’une seule énergie créant l’unité. Inspiré de mon premier album « Oscillations », j’ai souhaité explorer ma nature créative face à la dissonance des éléments opposés et complémentaires qui représentent la dualité.
« Le regard du Père » d’Olivier Messiaen ouvre ce concert. Le Thème de Dieu place l’homme face à l’immensité de l’univers et aux questions que l’inconnu provoque en lui ; « Kleinstücke », ma première composition, essaie d’y répondre. « Santa Fe » nous surprend avec son mouvement circulaire qui oscille entre l’inquiétude de l’être et son désir ; la vie se met en marche. La sonate de Gorecki, œuvre centrale d’une frénésie éclatante, installe la division et la lutte des contraires qui se métamorphose en chaos.
Le Gibet, extrait de « Gaspard de la nuit » de Maurice Ravel (inspiré par le poème d’Aloysius Bertrand), ouvre la deuxième partie du disque avec le thème de la mort. C’est dans ce désespoir qu’arrive « Réminiscence », comme une réconciliation entre l’ombre et la lumière. Une sérénité inquiétante encore traversée par l’effroi se déploie dans « Eternità ».
Ma dernière composition « Into the rush », exprime avec espoir et force les états d’âme vécus jusqu’à maintenant et la perpétuelle recherche d’un équilibre pour atteindre la non-dualité qui demeure en nous : notre vraie nature.
So the big idea is unity, fusion. OK. There you go.